Red Hat Linux 7.0: The Guide officiel de référence Red Hat Linux | ||
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Précédent | Annexe F. Installations Kickstart | Suivant |
Les commandes suivantes peuvent être placées dans un fichier Kickstart.
Définit les options d'authentification pour le système. Cette commande est similaire à la commande authconfig qui peut être exécutée après l'installation. Par défaut, les mots de passe sont normalement cryptés et non masqués.
Utilisez le cryptage md5 pour les mots de passe utilisateur.
Active le support NIS. Par défaut, --enablenis utilise tout domaine trouvé sur le réseau. Un domaine doit presque toujours être défini manuellement (via --nisdomain).
Nom de domaine NIS à utiliser pour les services NIS.
Serveur à utiliser pour les services NIS (diffusions par défaut).
Utiliser des mots de passe masqués.
Active le support LDAP dans /etc/nsswitch.conf, en permettant à votre système de récupérer des informations sur les utilisateurs (UID, répertoires personnels, shells, etc.) dans un annuaire LDAP. Cette option ne peut être utilisée que si le paquetage nss_ldap est installé. Vous devez également spécifier un serveur et un DN de base.
Utilisation de LDAP comme méthode d'authentification. Ceci active le module pam_ldap pour l'authentification et le changement de mots de passe à l'aide d'un annuaire LDAP. Cette option ne peut être utilisée que si le paquetage nss_ldap est installé. Vous devez également spécifier un serveur et un DN de base.
Nom du serveur LDAP utilisé si vous avez spécifié --enableldap ou --enableldapauth. Cette option est définie dans le fichier /etc/ldap.conf.
DN (distinguished name) dans l'arborescence de votre annuaire LDAP (emplacement où sont stockées les informations utilisateur). Cette option est définie dans le fichier /etc/ldap.conf.
Utilisez Kerberos 5 pour authentifier des utilisateurs. Kerberos lui-même n'a aucune notion des répertoires personnels, UID ou shells. Si vous l'activez, vous devrez donc activer également LDAP, NIS ou Hesiod. Vous éviterez de la sorte d'avoir à utiliser la commande /usr/sbin/useradd pour faire connaître leurs comptes à ce poste de travail. Pour pouvoir utiliser cette option, vous devez avoir installé le paquetage pam_krb5 .
Zone de Kerberos 5 à laquelle appartient votre poste de travail.
KDC servant les requêtes pour la zone. S'il y a plusieurs KDC dans votre zone, séparez leurs noms par des virgules ( ,).
KDC de votre zone qui exécute également kadmind. Ce serveur, qui ne peut être exécuté que sur le KDC maître si vous en avez plusieurs, gère les changements de mot de passe et autres demandes administratives.
Activez le support Hesiod pour rechercher dans les répertoires personnels, les UID et les shells de l'utilisateur. Vous trouverez plus d'informations sur la configuration et l'utilisation de Hesiod sur votre réseau dans le répertoire /usr/share/doc/glibc-2.x.x/README.hesiod, inclus dans le paquetage glibc. Hesiod est une extension de DNS qui utilise des enregistrements DNS pour stocker des informations sur des utilisateurs, des groupes et divers autres éléments.
Option Hesiod LHS ("left-hand side", côté gauche) définie dans /etc/hesiod.conf. Cette option est utilisée par la bibliothèque Hesiod pour déterminer le nom permettant de rechercher un DNS en cas de recherche d'informations, telles que l'utilisation d'un DN de base par LDAP.
Option Hesiod RHS ("right-hand side", côté droit), définie dans /etc/hesiod.conf. Cette option est utilisée par la bibliothèque Hesiod pour déterminer le nom permettant de rechercher un DNS en cas de recherche d'informations, telles que l'utilisation d'un DN de base par LDAP.
Conseil | |
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Pour rechercher "jim" dans les informations utilisateur, la bibliothèque Hesiod recherche jim.passwd<LHS><RHS>, ce qui devrait générer un enregistrement TXT ressemblant à l'entrée en question (jim:*:501:501:Jungle Jim:/home/jim:/bin/bash). Pour les groupes, la situation est identique, sinon qu'il faudrait utiliser jim.group<LHS><RHS>. La recherche d'utilisateurs et de groupes par numéro se gère en faisant de "501.uid" un CNAME pour "jim.passwd" et de "501.gid" un CNAME pour "jim.group". Notez que LHS et RHS ne sont pas précédés par un . lorsque la bibliothèque détermine le nom à rechercher ; LHS et RHS commencent le plus souvent par un point. |
Supprime des partitions du système, avant de créer de nouvelles partitions. Par défaut, aucune partition n'est supprimée.
Supprime les partitions Linux (type 0x82, 0x83 et 0xfd [RAID])
Supprime toutes les partitions du système
Sur la plupart des systèmes PCI, le programme d'installation cherche automatiquement à détecter des cartes Ethernet et SCSI. Sur des systèmes plus anciens et certains systèmes PCI, Kickstart a cependant besoin d'une indication pour trouver les périphériques appropriés. La commande de périphérique indique à Anaconda d'installer des modules supplémentaires. Elle se présente sous la forme suivante :
device type >nom-de-module --opts options |
<type> doit être "scsi" ou "eth" et <nom-de-module> le nom du module de noyau à installer.
Options à transmettre au module de noyau. Notez que plusieurs options peuvent être transmises si elles sont mises entre guillemets. Par exemple :
--opts "aic152x=0x340 io=11" |
Pendant l'exécution de kickstart, il est possible d'utiliser des disquettes de pilotes en copiant leur contenu dans le répertoire root d'une partition du disque dur du système et en utilisant la commande driverdisk pour indiquer au programme d'installation où la rechercher.
driverdisk partition [--type type-système-de-fichiers] |
partition est la partition contenant le disque du pilote.
Type de système de fichiers (par exemple, VFAT ou ext2).
Indique au système d'installer un nouveau système au lieu de mettre à jour un système existant. Il s'agit du mode par défaut.
Vous devez utiliser l'une de ces quatre commandes pour spécifier le type de kickstart exécuté :
Effectuer l'installation à partir du serveur NFS spécifié.
--server serveur
Serveur à partir duquel effectuer l'installation (nom d'hôte ou adresse IP).
--dir répertoire
Répertoire contenant l'arborescence d'installation de Red Hat.
Par exemple :
nfs --server serveur --dir répertoire |
Effectuer l'installation à partir du premier lecteur de CD-ROM du système.
Par exemple :
cdrom |
Effectuer l'installation à partir d'une arborescence d'installation de Red Hat sur un lecteur local qui doit être VFAT ou ext2.
--partition partition
Partition à partir de laquelle l'installation doit être exécutée (par exemple, sdb2).
--dir répertoire
Répertoire contenant l'arborescence d'installation de Red Hat.
Par exemple :
harddrive --partition partition --dir répertoire |
Effectuer l'installation à partir d'une arborescence d'installation de Red Hat sur un serveur distant via FTP ou HTTP.
Par exemple :
url --ulr http://<serveur>/<dir> |
Définit le type de clavier du système. Voici la liste des claviers disponibles sur les ordinateurs i386 et Alpha :
azerty, be-latin1, be2-latin1, fr-latin0, fr-latin1, fr-pc, fr, wangbe, ANSI-dvorak, dvorak-l, dvorak-r, dvorak, pc-dvorak-latin1, tr_f-latin5, trf, bg, cf, cz-lat2-prog, cz-lat2, defkeymap, defkeymap_V1.0, dk-latin1, dk. emacs, emacs2, es, fi-latin1, fi, gr-pc, gr, hebrew, hu101, is-latin1, it-ibm, it, it2, jp106, la-latin1, lt, lt.l4, nl, no-latin1, no, pc110, pl, pt-latin1, pt-old, ro, ru-cp1251, ru-ms, ru-yawerty, ru, ru1, ru2, ru_win, se-latin1, sk-prog-qwerty, sk-prog, sk-qwerty, tr_q-latin5, tralt, trf, trq, ua, uk, us, croat, cz-us-qwertz, de-latin1-nodeadkeys, de-latin1, de, fr_CH-latin1, fr_CH, hu, sg-latin1-lk450, sg-latin1, sg, sk-prog-qwertz, sk-qwertz, slovene |
voici la liste pour les ordinateurs SPARC :
sun-pl-altgraph, sun-pl, sundvorak, sunkeymap, sunt4-es, sunt4-no-latin1, sunt5-cz-us, sunt5-de-latin1, sunt5-es, sunt5-fi-latin1, sunt5-fr-latin1, sunt5-ru, sunt5-uk, sunt5-us-cz |
Définit la langue par défaut pour le système installé. La langue spécifiée sera utilisée durant l'installation de même que pour configurer tout aspect spécifique à la langue du système installé. Par exemple, pour définir la langue anglaise, le fichier Kickstart doit contenir la ligne suivante :
lang en_US |
Les codes de langue valables sont :
cs_CZ, en_US, fr_FR, de_DE, hu_HU, is_IS, id_ID, it_IT, ja_JP.ujis, no_NO, pl_PL, ro_RO, sk_SK, sl_SI, es_MX, ru_RU.KOI8-R, uk_UA |
Spécifie la manière dont le chargeur de démarrage doit être installé sur le système. Par défaut, LILO est installé sur le bloc de démarrage maître du premier disque et installe un système à double démarrage s'il trouve une partition DOS (le système DOS/Windows démarre si l'utilisateur entre dos à l'invite LILO: ).
Spécifie les paramètres du noyau.
Utilisez l'option LILO linear ; elle sert uniquement pour la compatibilité en amont (et linear est désormais utilisé par défaut).
Spécifie l'emplacement où l'enregistrement de démarrage LILO doit être écrit. Les valeurs valables sont mbr (par défaut), partition (installe le chargeur de démarrage sur le premier secteur de la partition contenant le noyau) ou aucun, ce qui empêche l'installation de tout chargeur de démarrage.
En présence de cette commande, le programme d'installation vérifie si LILO figure sur le bloc de démarrage maître du premier disque dur, puis redémarre le système s'il ne le trouve pas -- aucune installation n'aura lieu dans ce cas. Ceci peut empêcher Kickstart de réinstaller un système déjà installé.
Configure la souris pour le système, tant en mode graphique qu'en mode texte. Les options sont les suivantes :
Le périphérique sur lequel se trouve la souris (par exemple, --device ttyS0).
Si cette commande figure dans le fichier, le système X Window utilise simultanément les boutons de souris gauche et droit pour émuler le bouton du milieu (à utiliser avec les souris à deux boutons).
Après les options, l'un des types de souris suivants peut être spécifié :
alpsps/2, ascii, asciips/2, atibm, generic, generic3, genericps/2, generic3ps/2, geniusnm, geniusnmps/2, geniusnsps/2, thinking, thinkingps/2, logitech, logitechcc, logibm, logimman, logimmanps/2, logimman+, logimman+ps/2, microsoft, msnew, msintelli, msintellips/2, msbm, mousesystems, mmseries, mmhittab, sun, none |
Si la commande mouse est entrée sans argument ou si elle est omise, le programme d'installation essaie de détecter automatiquement la souris (ce qui fonctionne pour les souris les plus récentes).
Configure les informations de réseau pour le système. Si cette commande ne figure pas dans le fichier et si l'installation Kickstart ne requiert pas de connexion au réseau (c'est-à-dire que l'installation ne s'effectue pas par NFS), aucune connexion au réseau n'est configurée pour le système. Si l'installation ne requiert pas de connexion au réseau, Anaconda suppose qu'elle doit s'effectuer par eth0 via une adresse IP dynamique (BOOTP/DHCP) et configure le système installé pour qu'il détermine de façon dynamique son adresse IP. La commande network configure les informations de connexion au réseau, tant pour les installations Kickstart via le réseau que pour le système installé.
dhcp, bootp ou static (les valeurs par défaut pour DHCP, de même que dhcp et bootp sont traitées de la même manière). Doit être static pour les informations IP statiques à utiliser.
Utilisé pour sélectionner un périphérique Ethernet spécifique pour l'installation. L'utilisation de --device <périphérique> n'est pas effective si kickstart n'est pas un fichier local (tel que ks=floppy) ; dans ce cas en effet, le programme d'installation configure le réseau pour rechercher le fichier kickstart. Exemple :
network --bootproto dhcp --device eth0 |
Adresse IP pour l'ordinateur à installer.
Passerelle par défaut sous la forme d'une adresse IP.
Serveur de noms principal, sous la forme d'une adresse IP.
Masque réseau pour le système installé.
Nom d'hôte pour le système installé.
Il existe trois méthodes différentes de configuration de réseau :
DHCP
BOOTP
statique
La méthode DHCP utilise un serveur DHCP pour obtenir la configuration de connexion au réseau. Comme on peut l'imaginer, la méthode BOOTP est similaire, et requiert un serveur BOOTP pour fournir la configuration de connexion au réseau.
La méthode statique requiert la saisie de toutes les informations de connexion au réseau requises dans le fichier Kickstart. Comme leur nom l'indique, ces informations sont statiques et seront utilisées durant l'installation, et aussi après celle-ci.
Pour donner instruction à un système d'utiliser DHCP pour obtenir sa configuration de connexion au réseau, utilisez la ligne suivante :
network --bootproto dhcp |
Pour donner instruction à un ordinateur d'utiliser BOOTP pour obtenir sa configuration de connexion au réseau, utilisez la ligne suivante dans le fichier Kickstart :
network --bootproto bootp |
La ligne pour une connexion au réseau statique est plus complexe, dans la mesure où vous devez inclure toutes les informations de configuration de réseau sur une ligne. Vous devez spécifier :
Adresse IP
le masque réseau
l'adresse IP de la passerelle
l'adresse IP du serveur de noms
Voici un exemple de ligne pour une connexion statique :
network --bootproto static --ip 10.0.2.15 --netmask 255.255.255.0 --gateway 10.0.2.254 --nameserver 10.0.2.1 |
Remarque | |
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L'intégralité de la configuration du réseau doit apparaître sur une ligne ! Nous l'avons présentée ici sur deux lignes pour en faciliter la lecture. |
Il y a deux restrictions qu'il faut garder à l'esprit si vous voulez utiliser la méthode statique :
Toutes les informations de configuration de connexion au réseau statiques doivent être spécifiées sur une ligne ; vous ne pouvez pas insérer des retours à la ligne, par exemple à l'aide de barres obliques inverses.
Vous ne pouvez spécifier ici qu'un seul serveur de noms. Vous pouvez cependant utiliser la section %post du fichier Kickstart (décrite dans la la section intitulée %post -- Section de configuration après l'installation) pour ajouter, le cas échéant, des serveurs de noms.
Créer une partition sur le système. Les demandes de partition se présentent sous la forme :
part <ptmnt> --size <taille> [--grow] [--onpart <partc>] [--ondisk <disque>] [--onprimary <N>] [--asprimary <N>] |
point-de-montage est l'endroit où la partition sera montée et doit se présenter sous l'une des formes suivantes :
(c'est-à-dire /, /usr, /home)
La partition sera utilisée comme espace swap (d'échange).
La partition sera utilisée pour le RAID logiciel (reportez-vous à la commande raid plus loin).
Définit la taille minimum pour la partition.
Indique que la partition peut grandir jusqu'à occuper tout l'espace disponible, ou jusqu'au paramétrage de taille maximale.
Définit la taille de partition maximale lorsque la partition est paramétrée pour occuper l'espace disponible.
Indique au programme d'installation de ne pas formater la partition ; à utiliser avec la commande --onpart.
Indique au programme d'installation de placer la partition sur le périphérique partition existant. Par exemple, partition /home --onpart hda1 place /home sur /dev/hda1, qui doit déjà exister.
Force la création de la partition sur un disque spécifié. Par exemple, --ondisk sdb placera la partition sur le second disque du système.
Force la création de la partition sur la partition primaire <N> ou l'échec. <N> peut être une valeur de 1 à 4.
Force l'allocation automatique comme partition primaire <N> ou l'échec. <N> peut être une valeur de 1 à 4.
<N> représente le nombre d'octets par inode sur le système de fichiers lors de sa création. Il doit avoir un format décimal. Cette option est utile pour les applications pour lesquelles vous voulez augmenter le nombre d'inodes sur le système de fichiers.
Définit le type de partition sur <X>, où <X> est une valeur numérique.
Toutes les partitions créées seront formatées dans le cadre du processus d'installation, à moins que les commutateurs --noformat et --onpart ne soient utilisés.
Remarque | |
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Si le commutateur --clearpart est utilisé dans le fichier ks.cfg, --onpart ne peut pas être utilisé sur une partition logique. |
Remarque | |
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Si le partitionnement échoue pour une raison quelconque, des messages de diagnostic s'affichent sur VC 3. |
Crée un périphérique RAID logiciel. Cette commande se présente sous la forme :
raid point-de-montage --level niveau --device >périphérique-RAID<partitions*> |
point-de-montage est l'emplacement de montage du système de fichiers RAID. S'il s'agit de /, le niveau de RAID doit être 1, à moins qu'une partition boot (/boot) ne soit présente, dans laquelle la partition /boot doit être du niveau 1 et la partition root (/) peut être de n'importe quel type disponible. partitions* (ce qui indique que plusieurs partitions peuvent être répertoriées) affiche la liste des identificateurs RAID à ajouter au réseau RAID.
Niveau de RAID à utiliser (0, 1 ou 5).
Nom du périphérique RAID à utiliser (par exemple, md0 ou md1). Les périphériques RAID vont de md0 à md7 et chacun ne peut être utilisé qu'une seule fois.
Voici un exemple de la manière de créer une partition RAID 1 pour /, et une partition RAID 5 pour /usr, en supposant qu'il y ait trois disques SCSI sur le système. Dans cet exemple, le système crée également trois partitions swap, une sur chaque lecteur.
part raid.01 --size 60 --ondisk sda part raid.02 --size 60 --ondisk sdb part raid.03 --size 60 --ondisk sdc |
part swap --size 128 --ondisk sda part swap --size 128 --ondisk sdb part swap --size 128 --ondisk sdc |
part raid.11 --size 1 --grow --ondisk sda part raid.12 --size 1 --grow --ondisk sdb part raid.13 --size 1 --grow --ondisk sdc |
raid / --level 1 --device md0 raid.01 raid.02 raid.03 raid /usr --level 5 --device md1 raid.11 raid.12 raid.13 |
Redémarrer une fois l'installation terminée (pas d'arguments). Normalement, Kickstart affiche un message, puis attend que l'utilisateur appuie sur une touche avant de redémarrer.
Utilisation : rootpw [--iscrypted] mot-de-passe.
Définir le mot de passe root du système sur l'argument mot-de-passe.
Si cette option est présente, l'argument du mot de passe est supposé déjà crypté.
Si cette option est présente, X Window n'est pas configuré sur le système installé.
timezone [--utc] fuseau-horaire.
Définir le fuseau horaire du système sur fuseau-horaire qui peut être n'importe quel fuseau horaire répertorié dans "timeconfig".
Si cette option est présente, le système suppose que l'horloge matérielle est réglée sur l'heure GMT (heure de Greenwich).
Indiquer au système de mise à jour un système existant au lieu d'installer un nouveau système.
Configure le système X Window. Si cette option n'est pas spécifiée, l'utilisateur doit configurer X Window manuellement durant l'installation, pour autant que X Window ait été installé ; cette option ne doit pas être utilisée si X Window n'est pas installé sur le système.
Ne pas essayer de détecter l'écran.
Utiliser la carte carte; ce nom de carte doit être l'un de ceux figurant dans la liste des cartes de Xconfigurator. Si cet argument n'est pas fourni, Anaconda cherche à détecter le bus PCI pour la carte.
Utiliser l'écran écran; ce nom d'écran doit être issu de la liste des écrans dans Xconfigurator. Il est ignoré si --hsync ou --vsync est fourni ; si aucune information sur l'écran n'est fournie, la détection de l'écran s'effectue par la fonction plug-and-play.
Spécifier la fréquence horizontale de l'écran.
Spécifier la fréquence verticale de l'écran.
Définit le bureau par défaut sur GNOME ou KDE (en supposant que GNOME et/ou KDE a été installé avec %packages).
Utiliser un login graphique (niveau d'exécution 5) pour le système installé.
Si "zerombr" est spécifié et si "yes" est son seul argument, toute table des partitions non valable trouvée sur les disques est initialisée. Ceci détruira tout le contenu des disques contenant des tables des partitions non valables. Cette commande doit être utilisée comme suit :
zerombr yes
Aucun autre format n'est pris en compte.
Utiliser la commande %packages pour commencer une section de fichier Kickstart indiquant la liste des paquetages que vous voulez installer (ceci ne vaut que pour les installations, étant donné que la sélection de paquetages durant les mises à jour n'est pas prise en charge).
Il est possible de spécifier les paquetages par composant ou par nom de paquetage. Le programme d'installation définit plusieurs composants qui regroupent les paquetages connexes. Reportez-vous au fichier RedHat/base/comps figurant sur n'importe quel CD-ROM Red Hat Linux pour obtenir une liste des composants. Les composants sont définis par les lignes commençant par un nombre, suivi d'un espace, puis du nom du composant. Chaque paquetage de ce composant est ensuite répertorié, ligne après ligne. Les paquetages individuels ne sont pas assortis du chiffre que l'on trouve devant les lignes de composant.
En outre, il y a trois autres types de lignes que vous pouvez rencontrer dans le fichier comps :
Si un nom de paquetage commence par un type d'architecture, il suffit que vous entriez le nom du paquetage, pas celui de l'architecture. Par exemple :
Pour i386: netscape-common, vous devez uniquement utiliser la partie netscape-common pour ce paquetage spécifique à installer.
Les lignes commençant par ? sont spécifiques au programme d'installation. Vous n'avez rien à faire avec ces types de lignes.
Si un nom de paquetage commence par --hide, il suffit que vous entriez le nom du paquetage sans --hide. Par exemple :
Pour --hide KDE Workstation vous devez uniquement utiliser la partie KDE Workstation pour le paquetage spécifique à installer.
Le plus souvent, il suffit de répertorier les composants souhaités et non des paquetages individuels. Le composant Base est toujours sélectionné par défaut, de sorte qu'il n'est pas nécessaire de le spécifier dans la section %packages.
Voici un exemple de sélection %packages :
%packages @ Networked Workstation @ C Development @ Web Server @ X Window System bsd-games |
Comme vous le voyez, les composants sont spécifiés, ligne après ligne, en commençant par le signe @, suivi d'un espace, puis du nom complet du composant tel qu'il figure dans le fichier comps. Spécifiez des paquetages individuels sans caractères supplémentaires (la ligne bsd-games dans l'exemple ci-dessus désigne un paquetage individuel).
Remarque | |
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Vous pouvez également ordonner à l'installation kickstart d'utiliser les installations des classes Serveur et Poste de travail (ou de choisir d'installer tous les paquetages). Pour ce faire, ajoutez simplement l' une des lignes suivantes à la section %packages : |
@ Gnome Workstation @ KDE Workstation @ Server @ Everything |
Vous avez la possibilité d'ajouter des commandes à exécuter sur le système immédiatement après l'analyse du fichier ks.cfg. Cette section doit figurer à la fin du fichier kickstart (après les commandes) et doit commencer par la commande %pre. Vous pouvez accéder au réseau dans la section %pre ; toutefois, le service de noms n'a pas encore été configuré à ce stade, de sorte que seules les adresses IP fonctionneront. Voici un exemple de section %pre :
%pre # add comment to /etc/motd echo "Kickstart-installed Red Hat Linux `/bin/date`" > /etc/motd # add another nameserver echo "nameserver 10.10.0.2" >> /etc/resolv.conf |
Cette section crée un fichier de message du jour contenant la date à laquelle a eu lieu l'installation Kickstart et contourne la limitation "one name server only" (un seul serveur de noms) de la commande network en ajoutant un autre serveur de noms à /etc/resolv.conf.
Remarque | |
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Le script de pré-installation n'est pas exécuté dans l'environnement root modifié. |
Vous avez la possibilité d'ajouter des commandes à exécuter sur le système une fois l'installation terminée. Cette section doit se trouver à la fin du fichier Kickstart et commencer par la commande %post. Vous pouvez accéder au réseau dans la section %post ; toutefois, le service de noms n'a pas encore été configuré à ce stade, de sorte que seules les adresses IP fonctionneront. Voici un exemple de section %post :
%post # add comment to /etc/motd echo "Kickstart-installed Red Hat Linux `/bin/date`" > /etc/motd # add another nameserver echo "nameserver 10.10.0.2" >> /etc/resolv.conf |
Cette section crée un fichier de message du jour contenant la date à laquelle a eu lieu l'installation Kickstart et contourne la limitation "one name server only" (un seul serveur de noms) de la commande network en ajoutant un autre serveur de noms à /etc/resolv.conf.
Remarque | |
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Notez que le script post-installation est exécuté dans un environnement auquel a été appliqué l'utilitaire chroot ; c'est pourquoi l'exécution de tâches telles que la copie de scripts ou de RPM à partir des supports d'installation ne fonctionnera pas. |
Vous permet de spécifier des commandes que vous souhaitez exécuter en dehors de l'environnement auquel a été appliqué l'utilitaire chroot.
Vous permet de spécifier un autre langage de script, par exemple perl.
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